Ce que valent réellement les jambes de Taylor Swift selon les experts

Les rumeurs collent à la peau des célébrités comme le flash au tapis rouge. Taylor Swift, figure de proue de la pop mondiale, en a fait l’expérience à maintes reprises. Qu’il s’agisse de querelles inventées de toutes pièces avec d’autres stars ou de fausses grossesses relayées à l’envi, elle a appris à composer avec ces bruits de couloir. Mais parfois, des histoires tellement extravagantes parviennent à se faire une place dans le flot médiatique qu’on finirait presque par y croire.

Combien valent les jambes de Taylor Swift ?

En 2015, un tabloïd américain, le National Enquirer, a affirmé que Taylor Swift avait fait assurer ses jambes pour 40 millions de dollars. Cela reviendrait à 20 millions par jambe. Étonnant ? Pas tant que ça, puisque d’autres vedettes ont déjà vu des parties de leur corps mises en avant de la sorte. On évoque par exemple le sourire de Julia Roberts, la voix de Mariah Carey ou encore le postérieur de Jennifer Lopez. La mécanique est toujours la même : un détail physique remarquable, un chiffre vertigineux, et la rumeur fait le tour du globe.

Même si la source n’a jamais été connue pour sa fiabilité, l’histoire s’est propagée rapidement. L’idée semblait plausible, surtout dans le cas d’une artiste dont les tournées mondiales génèrent des sommes colossales. Il suffit d’imaginer le manque à gagner si, à cause d’une blessure, elle était contrainte d’annuler des concerts. La scène représente une part majeure du patrimoine de la chanteuse, dont la fortune grimpe à environ 320 millions de dollars, en grande partie grâce à ses spectacles énergiques où la danse occupe une place de choix.

Pourtant, l’entourage de Swift n’a pas tardé à balayer ces spéculations. La chanteuse elle-même a préféré tourner la chose en dérision. Après avoir été griffée à la cuisse par Meredith Grey, l’un de ses chats Scottish Fold, elle a publié sur Instagram : « Super travail, Meredith, j’essayais juste de t’aimer et maintenant tu me dois 40 millions de dollars ». Le post a depuis disparu et Olivia Benson, l’autre chatte préférée de Swift, n’a pas commenté l’affaire. Le buzz s’estompe, mais la légende reste.

Est-ce que Taylor Swift se lave les jambes ?

Le sujet des jambes de Taylor Swift ne s’est pas arrêté à une histoire d’assurance. Un autre épisode, plus inattendu, a surgi lors d’une interview avec Ellen DeGeneres en 2019. Durant cette séquence devenue virale, la question de l’hygiène des jambes a déchaîné les réseaux sociaux. Swift, installée dans les célèbres fauteuils blancs du plateau, explique qu’en se rasant les jambes, la crème à raser fait office de savon. Ellen rebondit : si on ne se rase pas, est-ce qu’on ne se lave pas ? Swift précise qu’elle se rase quotidiennement, ce qui déclenche de la part d’Ellen une remarque moqueuse sur la pilosité. La scène, aussi absurde que décalée, amuse le public et nourrit encore la mythologie autour des jambes de la superstar.

Mais vraiment : avez-vous vu les jambes de Taylor Swift ?

En matière de fascination, peu d’attributs physiques font autant jaser que les jambes interminables de Taylor Swift. Avec ses 1,78 mètre, difficile d’ignorer leur présence. Elle ne se contente pas de les exhiber : elle les met en valeur sur scène, mais aussi sur les podiums, comme lors du défilé Victoria’s Secret où elle a rivalisé avec les mannequins les plus célèbres. Pour ses fans, le sujet est devenu un terrain de jeu. Les réseaux sociaux regorgent de messages à la créativité débridée, du type : « tes jambes sont plus longues que ma capacité de concentration » ou « plus longues que mon avenir ». Certains y vont de leur trait d’humour sur l’anatomie : « je me demande si ces jambes vont jusqu’à tes fesses ».

Au fond, la plupart de ces commentaires gardent une tonalité bienveillante, un brin décalée, loin de l’agressivité que l’on retrouve si souvent sur Internet. Taylor Swift, habituée au cirque médiatique, continue sa route sans se laisser déstabiliser. Elle avance, sûre d’elle, et rappelle que dans un univers obsédé par les apparences, il vaut mieux en rire qu’en pleurer.